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Flipper Gottlieb CLEOPATRA, rare et révisé : pour collectionneurs et amateurs de jeu de flipper.
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Disponible le 10 Mai 2025
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* Forfait livraison possible (protégé, filmé et mis sur palette)
Le légendaire flipper CLEOPATRA de Gottlieb !
* La révision complète vient d'être terminée
La restauration cosmétique est en cours.
Le prix affiché est constamment mis à jour en fonction de son état d'avancement.
Flipper en dépôt vente.
* Forfait livraison possible (protégé, filmé et mis sur palette)
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Le flipper électro-mécanique Gottlieb Cléopatra prend son inspiration dans l’antiquité égyptienne, en hommage à la reine Cléopâtre et aux mythes du Nil.
Imaginé par le célèbre designer Ed Krynski (avec des illustrations signées Gordon Morison)
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ce flipper porte le thème historique comme un diadème de pharaon.
Sorti en décembre 1977, il symbolise pour Gottlieb le passage d’une ère à l’autre : l’entreprise expérimentait alors ses tout premiers circuits électroniques (système « System 1 ») tout en produisant encore des machines électro-mécaniques classiques
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Au cœur de cette révolution se trouve un prototype unique – un « whitewood » conservé dans les archives de Gottlieb – qui annonçait le futur flipper microprocesseur.
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Le projet Cleopatra voit le jour sous la direction d’Ed Krynski, qui a déjà à son actif de nombreux classiques.
Selon les archives de Gottlieb, même le légendaire ingénieur Doc Garbark a joué les Ménès en proposant un prototype de caisse métallique… hélas abandonné car « très bruyant, difficile à assembler et prenant trop de place »
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Wayne Neyens évoque en effet ce « détail » humoristique : l’idée d’un cabinet tout en alu était sans doute royale sur le papier, mais a été jugée impraticable en production
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Dans le studio artistique, Gordon Morison a illustré une Cléopâtre glamour entourée de symboles égyptiens.
Le choix du thème égyptien n’a pas été explicitement documenté, mais il s’inscrit dans la mode du moment – la fascination pour l’Antiquité et les trésors du Nil – et donne au flipper un look résolument exotique.
Chronologie de sortie :
la version électro-mécanique Cléopatra est lancée fin 1977
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peu après le prototype électronique (solid state) qui deviendra le « premier flipper microprocesseur » de Gottlieb
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Comme un pharaon inaugure sa dynastie, Cléopatra EM règne alors en maître sur les salles de jeux.
Cléopatra (EM, 1977) – 4 joueurs, 1 600 exemplaires produits (dont 349 pour le marché américain et 1 251 à l’export)
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Composé de score reels mécaniques, de relais et de lampes, il sonne trois carillons (ainsi qu’un « couineur »/knocker) à la moindre réussite.
Sa planche de jeu comporte deux flippers traditionnels, trois bumpers pop, deux slingshots, trois cibles debout, deux trous d’éjection et une rangée de cinq quilles à abattre, le tout agrémenté de deux bandeaux lumineux (« rollovers étoiles ») et d’un bonus en fin de bille
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La capacité de score maximale affichée est de 199 990 points par joueur
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Cléopatra (Solid State, 1977) – 4 joueurs, 7 300 exemplaires produits (dont 3 569 aux USA et 3 731 à l’export)
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Cette version « à circuits » a remplacé les score reels par un affichage électronique (monochrome à diodes) et des sons à chapelet de carillons, mais elle garde le même plateau et la même ambiance visuelle.
Elle fut inaugurée comme le premier système microprocesseur (System 1) de la firme
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Les différences techniques et esthétiques sont donc nettes : l’EM est purement mécanique (câblage, relais, lampes) avec un retour sonore typique (bruit de roues et knocker), tandis que l’électronique introduit une carte-mère 4 bits et des animations lumineuses numériques.
L’animation graphique reste cependant très similaire, car les deux versions partagent le même artwork de Cléopâtre et de pyramides, à l’exception du flipper deux joueurs dérivé « Pyramid » (1978) qui affiche un design de pyramide plus explicite.
En somme, la version EM a un charme vintage (cibles en bakélite, « raclettes » en métal) là où la SS offre plus de clarté dans le score et une électronique plus fiable en jeu.
Différences clés entre EM et SS :
Scoring : ROM mécanique (reels) vs affichage électronique.
Son : 3 chimes + knocker (EM) vs 3 chimes (SS)
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Alimentation : EM Cleopatra introduit le courant continu pour les bobines grâce à un pont de graëtz
ipdb.org, une première chez Gottlieb.
Esthétique : les deux partagent art et plateau; seule la cabine a pu avoir une variante (prototype métal, finalement abandonné)
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Gameplay : rythme très similaire, avec la vivacité des volants de 5 quilles.
Certains joueurs notent que l’EM « joue plus vite » grâce à ses bobines à courant continu.
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